Itinerrances pirates (1) :
Sorties d’archives – Montage en cours
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Chers amis, chères amies
Demain comme convenu, mais pas comme confirmé,
Nous nous retrouvons pour une soirée « pirate tsing tsing »
Je vous propose de le faire au X rue XX, dans le bureau que je partage avec 5 autres personnes mais qui en auront fini de leur travail à 20h.
(le bureau est domicilié au X, mais il fait l’angle de la rue entre rue X et rue du X (grandes baie-vitrées)
Le lieu possède deux petites plaques pour faire chauffer ou réchauffer quelque chose.
Chacun amène un petit quelque chose à manger.
Si le coeur vous en dit, n’hésitez pas à me confirmer votre présence ou votre absence.
(par exemple, un détail : il y’a ici 10 chaises…)
bien à vous,
Jérémy
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EN guise d’invitation
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Bonjour à toutes et à tous,
Bonjour à toutes et tous,
N’hésitez pas à venir avec ce que vous aimeriez partager (une image, un livre, une bricole à boire ou à manger, et caetera)
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Bonsoir !
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Mai 2017
Chasse aux couleurs au Parc Marliave et dans le quartier Chorier-Berriat proposée par Laetitia
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6 juin 2017
Séance Laoùonenest proposée par François et Amandine
…peut être l’occasion de partager nos cheminements
… peut être un moment d’attention flottante
… peut être ce qu’on voudra
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Invitation Rencontre Pirates 27 juin 2017
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Création collective :
Itinerrances pirates (2) :
Fête d’automne
MARDI 25 SEPTEMBRE 2018
18H-21H / Maison des Passeurs
Merci d’apporter quelque chose à manger et/ou à boire. Tout autre apport complémentaire bienvenu (photos de vacances, lectures estivales, prospectus, problèmes, désirs, etc.).
“La scène se passe un soir de septembre 2018 dans le jardin d’une habitation collective. Les participant·e·s présent·e·s discutent autour d’une table où est disposé ce que chacun·e a apporté pour l’apéritif. Un peu plus loin, sur une autre table près de l’entrée, des livres et des brochures. C’est une Fête d’Automne qui a été annoncée par email et bouche-à-oreille. En haut de l’annonce figure la mention « Séminaire-pirate ». En dessous, une photo couleurs d’automne avec un banc qui semble attendre qu’on s’y assoit, la mention « Réunion de rentrée » immédiatement suivie de l’intitulé « Fête d’Automne » et des indications concernant l’horaire, le lieu du rendez-vous ainsi que les contributions suggérées. Les premières personnes arrivées s’affairent aux préparatifs : nettoyage et dispositions des chaises de jardin, préparation et installation du buffet improvisé. La maison ne leur est pas inconnue. Les arrivant·e·s suivant·e·s prennent part à l’ouvrage ou conversent, dans la pièce d’entrée, la cuisine ou dans le jardin. Progressivement un cercle imparfait de chaises est formé autour de la table. Les conversations ont lieu en petits groupes. Une heure et demie après l’horaire de début, l’un·e d’entre nous, à l’initiative de la fête, prend la parole pour dire que rien n’a été particulièrement prévu quant au déroulé de celle-ci, qu’iel n’a anticipé pour sa part que la lecture d’un poème et que celui-cipourra à loisir être suivi d’autres lectures, partages et formulations d’envies pour la saison à venir. Le poème est lu et, après un moment de silence, une autre personne prend la suite avec la lecture du manifeste d’un collectif d’artistes dont nous nous sommes amusé·e·s à remplacer certains fragments pour faire comme si celui-ci avait été écrit par nos soins. A la fin du premier paragraphe, le manifeste passe dans les mains voisines pour qu’une nouvelle voix prenne le relais et ainsi de suite jusqu’à l’annonce de l’Assemblée Extraordinaire prévue pour le jour même. Un petit noyau des personnes présentes chemine déjà plus ou moins régulièrement ensemble depuis environ deux ans. D’autres se connaissent pour s’être croisées dans différents lieux de la ville et se retrouvent là sans forcément s’y attendre. Quelque-un·e·s ne connaissent qu’une ou deux personnes. Nous sommes une vingtaine ce soir-là réunis sous le grand arbre du jardin et une dizaine de prises de parole prennent la suite des unes des autres : J. lit un extrait sur la beat-generation et, à la nuit tombée, M. qui vient pour la première fois, une histoire d’ogresse dans un livre pour enfants dont elle tourne les pages aidée par l’éclairage du téléphone portable de F. Puis L. raconte son expérience de fabrication récente d’encres végétales lors d’un workshop qu’elle a organisé dans une friche en cours de réappropriation par un collectif. A. demande à G. des nouvelles de son travail dans le quartier où nous sommes plusieurs à nous être déplacé·e·s l’année précédente : il est désormais question de sauna mobile et d’artcare, en dialogue avec les personnes également portées par ce souci dans un autre quartier de l’agglomération. S. rapporte de la cuisine deux chandeliers coiffés de bougies que nous posons sur la table et quelques autres sources lumineuses branchées par ses soins viennent alors nous surprendre.”
[…]
PIRATE-INVITATION – 27 novembre 2018